nous avons souhaite faire connaitre largement la reponse de LAVERA
au test "que choisir" paru il y a peu .
Formazur.fr
Le magazine «Que Choisir» a testé dix produits solaires dans son édition de juillet
– août 2006.
Un seul des 10 est un produit de cosmétique naturelle certifiée, le lait
solaire anti-âge IP 20 de Lavera.
«Que choisir» a testé la performance de chacun des produits, leur capacité de
protection contre les UV-A, les UV-B et leur résistance à l’eau. Le produit de Lavera
a été classé en dernière position et évalué comme «moyen ».
1) Nous contestons les résultats des tests présentés par « Que Choisir ».
Dans cette mise au point, nous
détaillons les résultats d’autres tests du produit Lavera, obtenus par des laboratoires indépendants.
Ils sont obtenus en toute transparence et objectivité, ils démontrent clairement les très bonnes
performances du produit Lavera en question et contredisent ainsi les résultats de « Que Choisir ».
2) Nous contestons le choix de la rédaction de « Que choisir » de ne pas intégrer dans son classement
les effets secondaires potentiels des filtres solaires de synthèse. Le lecteur de l’article ne peut même
pas distinguer la nature du filtre solaire utilisé par chaque produit, la composition des produits n’est
simplement pas mentionnée.
3) Nous ajoutons une information :
le très reputé magazine allemand ÖKOTEST a testé
dans son édition actuelle de juillet 2006 le même produit de Lavera et lui a décerné sa
meilleure note, « très bien ».
Quelles sont les raisons pour ce classement ?
«Que Choisir» a testé les produits solaires sur 3 critères :
la protection contre les UV-B, la protection contre les UVA
et la résistance à l’eau. Le 1er compte pour 45 % dans
l’appréciation globale, le 2e pour 35 % et le 3e pour 20 %.
Avec ce communiqué, nous répondons à « Que Choisir »
point par point.
UV-B : protection contre le «coup de soleil»
Les rayon UV-B (290 – 320 nm) provoquent le « coup
de soleil ». La protection des produits solaires contre les
UV-B est précisée par un chiffre, l’indice de protection
(IP) ou facteur de protection solaire (FPS). Le chiffre
indique de quel facteur le produit prolonge le temps
jusqu’au premier indice d’un «coup de soleil».
Test « Que Choisir » : le « lait solaire anti-âge IP
20 » de Lavera a obtenu la note ** = « bon », selon
« Que Choisir » le FPS mesuré est en moyenne de 17,3. Le
magazine précise : « Pour un même type de peau et un même
produit, la plage de variation d’un individu à l’autre est parfois
très large «(...). Pour (…) Lavera et (…) l’indice mesuré reste
proche de celui annoncé. La différence étant inférieure à 17 %,
chiffre admis par la méthode internationale ».
Méthode utilisée : la méthode utilisée par le laboratoire de
« Que Choisir » est la méthode COLIPA. Le laboratoire DERMA
CONSULT du Dr NISSEN, qui fait les analyses pour Lavera,
utilise la même méthode, mais arrive à d’autres résultats.
Ce laboratoire a une expérience confirmée et de longue
date avec des tests de produits solaires contenant des filtres
minéraux. La méthode COLIPA est la norme officielle pour
l’indication d’un IP dans tous les pays d’Europe et au niveau
international.
Résultat : les analyses de l’institut indépendant DERMA
CONSULT indiquent pour le même produit un IP moyen de
25.
95% des résultats obtenus sur des personnes volontaires
étaient dans une fourchette entre 21,2 et 28,7. Lavera a
intégré dans la formule de son produit une large marge de
sécurité, d’environ 25%.
Le produit de Lavera a un IP réel de 25 en moyenne et
non de 17,3, comme le prétend « Que Choisir ».
UV-A – protection contre les UVs
qui pénètrent dans la peau
Les UV-A (320 – 400 nm), qui pénètrent plus
profondément dans la peau et qui sont à l’origine
du bronzage, étaient longtemps considérés comme les
« bons » UVs. Aujourd’hui, les spécialistes les tiennent
responsables de 35 % des cancers de la peau, ils sont
soupçonnés d’endommager l’ADN, de diminuer la défense
immunitaire et d’accélérer le vieillissement cutanée.
Test « Que Choisir » : le produit de Lavera a obtenu la note
« médiocre » .
Méthode(s) utilisée(s) :
a) QUE CHOISIR :
la méthode de tests utilisée par le laboratoire
de « Que Choisir » pour mesurer la protection contre les UV-A
2
est la méthode PPD (= persistent pigmentation darkening) ,
utilisée, entres autres, au Japon. C’est une méthode « in vivo »
( = sur l’homme), qui mesure la différence de bronzage entre
une peau protégée et non-protégée. « Que Choisir » précise,
que – en absence d’une méthode « officielle » - celle-ci serait
recommandée par ‘Afssaps*. En réalité, la position de
l’Afssaps est bien plus nuancée : bien que L’Affsaps cite
(dans un rapport de janvier 2006) la « méthode ppd »
comme « la plus attractive » à plusieurs reprises, elle
émet également des réserves, notamment en ce qui
concerne une « pertinence clinique considérée comme
faible par certains», et «l’absence de validation internationale».
De fait, cette méthode est préconisée par des industriels de la
cosmétique française et des scientifiques japonais.
b) STANDARD AUSTRALIEN :
depuis le début des années 90,
aux antipodes de la France, en Australie, les dermatologues
ont commencé à prendre plus au sérieux les risques des UV-A.
Pour une raison évidente : l’Australie a un ensoleillement plus
élevé que le sud de la France, ses habitants, en grande partie
des descendants britanniques, ont souvent une peau très claire,
qui rougit au lieu de bronzer. Avec leur peau claire, ils sont aussi
plus exposés aux risques des UV.
De cette situation est né le « Standard Australien ». C’est une
méthode officielle qui a été définie par un comité scientifique.
(parmi les 20 membres de ce comité se trouvent par exemple :
l’Association Australienne des Dermatologues, la Société
Australienne Contre le Cancer).
Il donne une indication claire sur la protection contre les UV-A
et complète l’indication du IP (ou FPS), qui ne concerne que les
UV-B. (Nom officiel : Norme australienne AS/NZS 2604).
A ce jour, c’est la seule méthode officiellement reconnue pour
indiquer une protection contre les UV-A. Pour satisfaire au
« Standard Australien », un produit solaire doit filtrer 90 % des
UV-A. La filtration est mesurée « in vitro », par la diminution
de la transparence de plaques de quartz avec ou sans produit
solaire.
Le produit de Lavera a été testé selon le « Standard Australien »
par le laboratoire DERMA CONSULT du Dr NISSEN.
Résultat : Ce laboratoire indépendant confirme que le « lait
solaire anti-âge IP 20 » de Lavera filtre au moins 90% des
UV-A, conformément au « Standard Australien », la seule
méthode officielle.
Résistance à l’eau –
la protection après le bain.
Un produit solaire est souvent utilisé à la plage, en
conséquence le maintien de la protection après le bain est
important. L’expression « résiste à l’eau » peut être utilisée sur
un produit, si 50 % de sa protection reste intacte après un bain.
Test « Que Choisir » : le produit de Lavera a obtenu la note
« médiocre » .
Méthode(s) utilisée(s) :
a) QUE CHOISIR :
FPS déterminé avant et après immersion de deux fois vingt
minutes, le rapport entre les deux mesure la tenue à l’eau du
produit.
b) méthode appliquée par le laboratoire DERMA CONSULT :
« méthode Dr Schrader ». Cette méthode est officiellement
admise pour déterminer la résistance à l’eau en Europe. Le FPS
est déterminé avant et après la procédure suivante : application
du produit, au bout de 15 minutes, passage sous une douche,
séchage à l’air.
Résultat : les analyses de l’institut indépendant DERMA
CONSULT montrent que le produit de Lavera conserve plus
de 50 % de sa protection initiale après un bain, simulé par la
« méthode Dr Schrader »
Le produit de Lavera est résistant à l’eau.
Les oublis de « Que Choisir »
Dans cet article, le magazine a mesuré les performances
de 10 produits solaires à travers 3 paramètres. Le seul
produit certifié « cosmétique naturel contrôlé » de ce test
obtient les plus mauvaises notes. Nous avons démontré
que cette évaluation est erronée, que d’autres laboratoires
indépendants obtiennent , - en partie avec d’autres méthodes-
, des résultats bien différents. Les performances du « lait
solaire anti-âge IP 20 » de Lavera sont donc complètement
satisfaisantes pour les 3 paramètres. En tant que cosmétique
naturel contrôlé, le produit de Lavera répond parfaitement aux
normes légales, notamment à l’indication de protection des UV
(A et B). Il répond en plus aux normes posées par le cahier de
charges «cosmétique naturel contrôlé» du BDIH, en particulier à
l’exigence d’absence de filtre solaire de synthèse.
Le test de «Que Choisir» ne fait aucune distinction entre les
filtres UV de synthèse et les filtres minéraux.
Or, sur les filtres solaires de synthèse pèsent des soupçons
développés dans des études scientifiques (Dr Schlumpf,
université Zürich), détaillant que ces filtres pourraient perturber
le système endocrinien en agissant comme des hormones.
Le potentiel allergisant de nombreux filtres solaires de
synthèse est reconnu et ne fait plus débat. Mais l’article ne fait
aucune référence à la problématique de l’effet allergisant des
filtres UV de synthèse.
L’utilisation de presque tous les filtres de synthèse est limitée
à 10 % du produit pour cette raison, les filtres minéraux ne
subissent pas cette restriction, car ils n’ont pas de potentiel
allergique connu.
L’aspect écologique, concernant l’effet polluant des filtres UV
de synthèse, n’est pas mentionné, ni la composition de base de
chaque produit.
La plupart des produits testés (à l’exception notable du produit
de Lavera) sont conservés avec des parabènes. Selon une
étude japonaise récente (Pr. Yoshikawa, université de Kyoto) la
présence de methylparabène associée aux rayons UVs accélère
le vieillissement cutanée du facteur 3.
En comparaison, voici les critères
de classement que la magazine
allemand Ökotest applique pour ses tests de produits solaires.
La présence de composants suivants vaut un déclassement
systématique : • libérateurs de formol • composés organohalogénés
• composés musqués • PEG • excipients composés de
plus de 10 % de paraffines • silicones. Leur présence ou absence
est analysée par des laboratoires scientifiques indépendants.
Depuis 2003, les produits solaires de Lavera ont été analysés
dans 9 tests par le magazine ÖKOTEST.
A chaque test ces produits ont obtenus les meilleures notes
de ÖKOTEST, « bien » ou « très bien ».
* Afssaps = Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé
06 juillet 2006
Article "que choisir" sur les produits solaires
Publié par Pierre GRAC-AUBERT à 4:30 PM
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